Future of work : L’Ère des directeurs de l’intelligence

Un jour viendra, peut-être demain,
Où le travail prendra un tout autre chemin.
Plus de bureaux bondés, de machines en chaîne,
Juste des esprits qui dirigent sans peine.

Chaque humain, un chef, un guide éclairé,
Trois managers à ses côtés, dévoués.
Mais ces trois-là ? Pas de chair ni d’os,
Des agents d’IA, précis, sans chaos.

Ces managers eux-mêmes tiennent les rênes,
Huit agents d’IA qu’ils pilotent sans peine.
Un réseau de pensées, fluide, connecté,
Un monde où l’humain reste le dernier sommet.

Imagine-toi, en maître du jeu,
Tissant des stratégies d’un doigt audacieux.
Pas d’horaires fixes, pas de lourds tracas,
Juste des idées qui coulent, libres de tout poids.

Les IA exécutent, sans pause ni sommeil,
Elles construisent des mondes sous un ciel sans pareil.
Toi, tu observes, orchestres, inspires,
Un architecte des rêves, un maître du futur empire.

Mais un murmure s’élève, discret mais présent,
Quand tout est si fluide, qu’en est-il du talent ?
L’humain, ce génie, créateur d’étincelles,
Sa place reste-t-elle sacrée, éternelle ?

Peut-être que ce monde, parfait en apparence,
Cache des questions, des doutes, une errance.
Car si chaque humain est un roi sans royaume,
Que reste-t-il de l’effort, du chemin qu’on dompte ?

Mais pour l’instant, rêve, laisse-toi porter,
Par cette prophétie où l’humain est sacré.
Trois IA pour penser, huit pour agir,
Et toi, au sommet, l’âme de l’avenir.

Spoiler Alert de Legus Far lui même : “ça arrive !”